Spectacle de la formation québécoise The New Cities, le 8 août 2009 sur la scène Loto-Québec du Festival International de Montgolfières de St-Jean-sur-Richelieu. En mélangeant le lustre de la synth-pop classique à lintensité du punk contemporain, et considérant lattrait indéniable du dance rock actuel sur les pistes de danse partout dans le monde, The New Cities sont sans contredit voués à laisser leur marque sur la scène pop canadienne. Leur premier extrait «Dead End, Countdown», sur les ondes radio depuis février, annonce déjà le vent de fraîcheur qui soufflera sur le pays au lancement de leur album complet en mai.
«Ça nous a pris trois ans, mais tout simbrique», dit Nick Denis, lun des deux claviéristes, et principal auteur du groupe. Il fait bien entendu référence à la montée indéniable de la formation ces dernières années de leurs premières armes en studio de manière indépendante au Québec, doublées dun lancement et dune tournée pour tester le terrain, jusquà leur rencontre avec le réalisateur et gérant Greig Nori, en passant par leur baptême de feu à Toronto, leur contrat de disques avec Sony et, ce nest pas tout, les concerts convoités quils ont assuré avant même que leur premier tube ne prenne dassaut la radio.