Saturday Night Fever, la fièvre du samedi soir prend d’assaut le Théâtre St-Denis

C’est hier soir qu’on replongeait à l’époque du disco des années 1977 alors qu’avait lieu à Montréal la grande première médiatique de Saturday Night Fever; comédie musicale mettant en vedette Nicolas Archambault dans le rôle du mythique Tony Manero.

Aux côtés du populaire danseur et chorégraphe on retrouve, entre autres, la talentueuse Amélie B. Simard dans le rôle de Annette (la comédienne qui a « survécu aux week-ends » survivra-t-elle au charme de Tony ? Vous serez séduits par son interprétation du succès « If I can’t have you » des Bee Gees), on découvre Mathieu Lévesque dans le rôle de Bobby, le meilleur ami de Tony (un rôle bien mérité pour le talentueux comédien et chanteur de formation qui a été découvert par les plus jeunes avec MixMania), mais on se délecte surtout du duo formé avec sa femme Wynn Holmes (danseuse et chorégraphe réputée) qui joue le rôle de Stéphanie Mangano.

 

 

Pour ceux qui n’ont pas « dansé avec John Travolta » à l’époque et/ou pour vous rafraîchir la mémoire:

« Saturday Night Fever c’est L’histoire de Tony Manero un jeune New Yorkais issu du milieu défavorisé de Brooklyn. Chaque samedi soir il trouve son émancipation et son épanouissement à la discothèque l’Odyssée, qu’il fréquente avec ses amis. De simple vendeur de peinture mal payé le jour, il passe à Dieu du plancher de danse le soir, adulé par les femmes et envié par les hommes. Toutefois son succès lui apporte aussi des ennuis auprès de sa famille, des bandes rivales et des femmes. Un soir, il tombe sous le charme de Stéphanie, à qui il propose de faire équipe pour un concours de danse. Cette rencontre pourrait changer bien des choses dans la vie de Tony… »

 

Saturday Night Fever est un spectaculaire amalgame de nostalgie, de séduction et d’humour avec une vingtaine de comédiens, danseurs et chanteurs qui électrise la scène en nous offrant des prestations musicales grandioses et sans failles.

Alors que les chorégraphies époustouflantes et rodées au quart de tour, les boules disco et les costumes scintillants volent la vedette et nous font oublier l’histoire un peu désuète de Tony et sa bande; les projections vidéo et les décors animés, lumineux et à la fine pointe de la technologie, quant à eux, sont prodigieux et rendent grâce au spectacle.

 

 

 

Au-delà de la danse; le talent indéniable de la troupe, les 17 chansons à succès interprétées (chapeau à Nevedya et David Latulippe) et les quelques scènes dévoilant le corps sculpté de Tony Manero vous donneront efficacement et assurément la fièvre du samedi soir et ce, peu importe le jour de semaine.

Saturday Night Fever, la fièvre du samedi soir prend d’assaut le Théâtre St-Denis du 14 mars au 1er avril 2018.